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Déjeuner-causeries: Mardi, le 22 septembre @7h15, au Pacini de St-Hyacinthe

Dans la série : «Attirez plus de clients ! Vendez plus !»

«Comment maximiser les références, les témoignages et vos efforts de réseautage ?»

***Aucun frais d’admission. Vous payez simplement votre déjeuner.***

Bonjour à tous,

Vous êtes cordialement invités à venir entendre et partager vos trucs de réseautage avec d’autres chefs d’entreprise et professionnels à leur compte.

De 7h15 à 9h15

La formule :

7h15 Accueil et réseautage

7h30 Présentation des participants

7h45 Discussions sur le thème de la journée. Animation par Sylvain

8h30 Sommaire des discussions et mini-présentation de Sylvain

8h55 Période de questions

9h00 Réseautage

Endroit : Pacini (deuxième étage)

1235 Rue Johnson O, Saint-Hyacinthe, QC J2S 8S4

RÉSERVEZ VOTRE PLACE DÈS MAINTENANT!

Pour réservez votre place, confirmer votre présence, téléphonez à Nathalie (450) 771-5494 ce lundi, le 21 septembre jusqu’à 13h; ou écrivez-nous un courriel à sylvain@sylvainchasse.com

Au plaisir de vous accueillir.

Votre animateur :

Sylvain Chassé, expert/coach en marketing

www.sylvainchasse.com

*********

Autres déjeuners au Pacini de Saint-Hyacinthe «sans frais d’entrée» à mettre immédiatement à votre agenda :

6 octobre : «Des publicités efficaces : Où investir ?»

20 octobre : «Votre site web travaille-t-il pour vous ?»

17 novembre : «Comment bien communiquer vos prix pour vos services?»

 Invitation spéciale :

1er octobre @7h00, Restaurant Mike’s : «La sollicitation, comment NE PAS en faire et prospérer.»

Je serai le conférencier invité à la Zone d’opportunités. Frais d’entrée de 15$. Pour réserver votre place, communiquez avec Joanie ou Mélissa.

 

Un commentaire que j’entends régulièrement est le suivant : « J’ai fait de la publicité dans l’hebdo de mon quartier et je n’ai eu aucun résultat. »

Pourtant, mes enquêtes démontrent que c’est un véhicule très efficace pour rejoindre une population locale. Les lecteurs y sont assez assidus. Ici, ce n’est pas l’outil qui est en cause, mais bien son utilisation.

Utilisez-vous les bons outils ?

J’aime comparer les différents véhicules publicitaires à un « coffre à outils ». Dans votre coffre, vous avez des tournevis étoilés, carrés, plats, etc…Qui peut m’affirmer que le tournevis étoilé est plus efficace que le carré ? Tous les outils sont bons évidemment ! Son utilisation dépendra de la tête de la vis, n’est-ce pas ?  Il en va ainsi pour le choix des véhicules publicitaires !

La mission du média est de livrer efficacement VOTRE message.

Voici 9 questions à se poser avant d’acheter des espaces publicitaires dans un véhicule médiatique :

  • Qui voulez-vous rejoindre ? Quels sont ses habitudes médiatiques ?
  • Quel est votre objectif de communication ? Votre objectif est-il clair ? (Ex : Faire connaître, rappeler l’existence, développer votre image de marque, activer les ventes, régler un problème de perception, etc.)
  • Qu’est-ce que vous avez à communiquer ? Est-il conforme à votre positionnement et ce que les clients veulent vraiment entendre ? S’attaque-t-il au problème ?
  • Sous quelle forme est votre message à véhiculer ?
  • Ce média est-il efficace pour véhiculer ce type de message et rejoindre votre auditoire, au moindre coût ?
  • Quel est la crédibilité de ce média et son expérience passée ?
  • Quel est le coût réel de chaque média ? (coût par mille)
  • Quel est votre budget ?
  • Combien de fois devez-vous livrer votre message avant d’avoir un impact réel, d’être remarqué et compris ?

Il y a de très nombreuses façons de rejoindre une clientèle. Dressez une liste de tous les outils à votre disposition actuellement, avec leurs forces et leurs faiblesses. C’est votre coffre à outils pour vos communications !

Personnellement, j’achète rarement sur place d’un représentant média qui se présente à mon bureau. Cependant, j’écoute et je prends des notes. J’ajoute l’outil proposé à ma liste. Je prends l’habitude de faire une planification annuelle en déterminant mes besoins en communication et ce que je désire atteindre. Au début de l’année, j’analyse mes objectifs, mes défis et je m’en tiens passablement à mon plan pour le reste de l’année. Une fois mes besoins clairement définis, je regarde ma liste d’outils et j’utilise celui dont j’ai besoin, en fonction de mes budgets. Aussi, je n’hésite pas à faire appel à des spécialistes dans le domaine des communications pour la conception et mes placements médias. Avec une bonne planification, tout devient plus simple pour tout le monde !

Je suis là pour vous accompagner à identifier vos besoins en communication, à déterminer vos objectifs, à planifier et diriger vos actions publicitaires.  

Coach Sylvain

©2015 Déclic Solutions. Tous droits réservés. Reproduction interdite sans la permission exclusive de l’auteur. 

 

Novembre 2014 

Déclic pour une dynamique entrepreneure: Linda Leduc

Propriétaire de la Boutique Moi & L’autre, au centre-ville de Saint-Hyacinthe.

linda leduc

À chaque mois, j’aurai le privilège de partager un moment avec un entrepreneur qui ose faire différent et qui est un phare dans son domaine. C’est la chronique Déclic sur l’entrepreneuriat.

Pour la chronique Déclic d’aujourd’hui, nous échangeons avec une femme d’affaires avisée et reconnue pour son dynamisme. Propriétaire d’une boutique de mode spécialisée, Linda Leduc a bien voulu nous partager à cœur ouvert quels sont ses défis quotidiens. Il nous fait plaisir de vous présenter une entrepreneure passionnée, qui n’a pas peur d’aller de par les chemins les moins fréquentés !

Q. Qui est Linda Leduc ? 

R. Je suis une femme passionnée par la vie, puis par les affaires ! Je suis proactive, curieuse. Je suis une personne positive de nature. Pour être entrepreneur, il faut être un peu fou en quelque part; ne pas avoir peur de travailler et de s’investir, même si les résultats tardent à venir : Y croire, persévérer et surtout, avoir du fun à le faire ! Je fais ce métier pour moi, pas pour les honneurs. Il me plait énormément !

Q. Comment êtes-vous venue à partir en affaires ?

R. Après avoir pris connaissance des résultats de l’enquête Profil Achat en 2001,  j’ai constaté qu’il y avait un besoin criant à Saint-Hyacinthe, dans le créneau des vêtements pour femmes ayant des tailles différentes de la norme. J’ai eu des discussions avec Sylvain Gervais, ancien directeur de la Corporation du développement commercial et c’est alors que j’ai décidé de me lancer. Je suis une femme de défis ! Depuis, la boutique a étendu sa gamme aux tailles régulières avec succès.

Q. Plusieurs disent que l’année 2014 ne fut pas facile pour le commerce de détail.

R.Un contexte économique plus difficile me motive énormément. Pour moi, c’est un appel à faire mieux encore; c’est un défi qui m’est lancé ! Sincèrement, 2014 est actuellement ma meilleure année et tout est possible pour 2015 ! Le focus doit être placé davantage sur la clientèle que sur le contexte. Des opportunités, il y en a !

Q. Comment conciliez-vous le travail et la vie privée ?

R. La gestion de mon temps est pour moi un défi. Il y a quelques années, j’ai eu des signaux d’alarme de santé qui m’ont fait prendre conscience qu’il fallait que j’équilibre ma vie. J’avais dépassé une certaine limite. Aujourd’hui, je vais prendre l’air et marcher. J’ai appris à me détacher des problèmes et à décrocher de la boutique lorsque je quitte pour mon chalet par exemple. J’ai appris à dire stop à mon mental. Lorsque j’ai une situation à régler, je mets à contribution mon subconscient. Il me trouve toujours de bonnes solutions. L’autre défi est pour moi d’apprendre à déléguer. J’ai de bonnes employées et ma fille Fanny qui a 24 ans s’intéresse à l’entreprise. Je suis une perfectionniste. J’apprends de plus en plus à faire confiance, en préparant la relève.

Q. Quels furent vos bons coups depuis vos débuts en affaires ?

R. Nous avons osé investir dans la communication. Les publicités à la télévision ont su attirer l’attention de la clientèle et ont fortement contribué à élargir notre marché. Des mentions dans des revues comme «Clin d’œil» ont aussi été très profitables pour la notoriété de la boutique. Nous sommes devenues la référence provinciale dans notre créneau. Les clientes se déplacent de partout au Québec pour venir chez nous. J’arrive à mettre sur le plancher une offre de produits uniques, grâce à une collaboration étroite avec des fournisseurs québécois. Nous animons continuellement la boutique avec des parades de mode, des événements spéciaux, des démonstrations et des cliniques de mode avec des spécialistes, en partenariat avec d’autres intervenants du milieu. Les réseaux sociaux nous permettent également une interaction facile avec notre communauté de« fans». Ces gestes ont mis la boutique sur la mappe, en donnant le goût aux clientes de nous suivre ! Elles parlent beaucoup de nous à leurs amies et sont de bonnes ambassadrices. Je demande régulièrement aux gens comment ils nous ont connues : Le bouche à oreille positif est définitivement un atout majeur dans le développement de notre boutique. Nous recevons tellement de beaux témoignages de nos clientes que nous avons aidées dans leur habillement. Personnellement, c’est de l’essence directement dans le moteur que de voir leurs yeux pétiller. C’est ma plus grande récompense !

Q. Avez-vous eu des périodes plus difficiles et comment avez-vous passé au travers ?

R. À un moment donné, j’ai eu un gros surplus d’inventaire à liquider. C’était tout un défi. J’ai alors demandé l’aide d’un coach en marketing. Ses trucs pour sortir l’inventaire ont été très efficaces et instantanément utiles. Je m’en sers encore aujourd’hui. Nous portons maintenant une attention toute spéciale à nos achats. Je suis devenue beaucoup plus sélective et pointue. Je fais l’analyse régulièrement de nos ventes. Notre objectif, c’est de créer le wow en boutique !

Q. Quel est le PROJET qui vous tient le plus à cœur, qui ne fonctionne pas comme souhaité? Pourquoi?

R. Nous avons commencé à faire de la vente en ligne. Je dois admettre que ce projet nous tire beaucoup de jus actuellement. Le rendement sur l’investissement n’est pas à la hauteur de nos attentes. Nous avons décidé d’aller jusqu’au bout de l’expérience, c’est certain. Au moins, nous remarquons une bonne augmentation de l’achalandage en magasin. Tout porte à croire que le site internet puisse en être un des facteurs. Nous constatons que les gens regardent virtuellement notre offre, mais préfèrent encore se déplacer en boutique par la suite.

Q. Si vous aviez des conseils à donner à un jeune entrepreneur, quels seraient-ils ?

R. Je lui dis d’avoir la pensée magique, de ne pas avoir peur de l’échec. C’est certain que ça prend une bonne dose de courage pour attendre 3 à 5 ans avant d’avoir le résultat voulu, avec un salaire de crève la faim. Parfois, on plonge dans des projets, en sachant à peine nager. Le mentorat est une excellente façon d’apprendre de l’expérience des autres, des gens qui sont également passés par là. Chez moi, ma famille était des entrepreneurs. J’ai pu les observer et apprendre d’eux. La formation est un autre outil pour se perfectionner. Alors assistez à des cours et à des conférences; apprenez à devenir un meilleur entrepreneur; lisez sur les gens qui ont du succès : Une référence pour moi est Gaétan Frigon.

Q. Quel avenir voyez-vous pour le centre-ville ?

R. Pour l’avenir des artères principales, je suis positive. Nous avons des propriétaires qui sont dans leur boutique et qui sont motivés à trouver des solutions originales aux clients. La personnalisation de l’offre et un service chaleureux font toute la différence dans l’expérience d’achat pour la clientèle : Une expérience humaine que les consommatrices peuvent difficilement retrouver dans un centre d’achat. Écoutez, j’entends de très bons commentaires de gens venant de l’extérieur de Saint-Hyacinthe qui trouvent notre centre-ville très mignon. Cette perception ne semble pas partagée de la même façon par la clientèle locale. Dans le commerce de détail, il n’y a plus de place à l’improvisation. Il faut travailler très fort pour attirer les clientes chez nous, mais on y arrive.

Q. Perspective 2015 ?                

R. L’année à venir devrait être une excellente année. On fera tout ce qu’il faut pour y arriver. Actuellement, on prépare de belles surprises de Noël pour nos clientes ! Finalement, la recette c’est d’avoir du fun !

Merci Linda Leduc pour ces bons mots. Vous aurez assurément une année 2015 exceptionnelle !

www.moietlautre.com

Sylvain Chassé

@Novembre 2014 – Tous droits réservés. 

 

Un phénomène récent, TWITTER rejoint maintenant plus de 2 millions de membres au Canada et ce chiffre est en forte progression. De plus en plus d’entreprises utilisent ce média social pour informer, développer l’intérêt autour de leur marque et de leurs produits, créer un « buzz » !

TWITTER est un micro-blogue, un fil de nouvelles n’excédant pas 140 caractères et où vous pouvez entrer en communication directe avec des gens intéressés à ce que vous faites ou à l’inverse, à vous intéresser à ce qu’ils font et découvrir à qui ils veulent s’adresser.

ASTUCES SUR TWITTER…

  • Déterminez préalablement votre clientèle cible et ce que vous voulez y rechercher. Il est facile de s’y perdre sinon.
  • Servez-vous de TWITTER pour attirer l’attention sur vos idées et vos produits/services.
  • Montrez-vous intéressé et intéressant : Suivez tous les tweeteurs que vous connaissez, qui vous suivent et les tweeteurs qu’ils suivent.
  • Cherchez dans « TWITTER » pour trouver les gens qui valent la peine pour vous de suivre.
  • Vérifiez les listes « abonnements » et « abonnés » de chacune des personnes; vérifiez s’il y aurait de bonnes pistes de clients potentiels à suivre.
  • Assurez-vous que chaque blogue que vous rédigez et publiez soit annoncé par des tweets.
  • Gardez l’œil sur les «  nouveaux tweets » qui arrivent.
  • Lorsque vous parlez d’un sujet ou d’une personne dans un tweet, incluez toujours un lien; utilisez un service d’abréviation de liens
  • Déterminez combien de temps vous consacrerez chaque jour à « TWITTER ». Allez y faire un petit tour quotidiennement.
  • Faites la promotion de votre adresse TWITTER (ex : @coachsylvain) sur votre site web et votre blogue, dans vos autres profils de médias sociaux, affiches, brochures, enseignes, vos cartes d’affaire et même brodée sur votre T-shirt.

PIÈGES À ÉVITER SUR TWITTER…

  • Tweeter des jurons, des blasphèmes, des diatribes ou des insultes gratuites à l’égard d’autres personnes ou d’autres entreprises.
  • Envoyer des tweets vagues avec de l’information sans lien menant à la source.
  • Envoyer des tweets-pourriels automatisés (ou manuel) qui envoient des messages commerciaux éhontés de manière impersonnelle et répétitive.
  • Tweeter sur des sujets sans importance et non pertinents; les gens n’ont aucune envie de savoir que vous venez de manger de la soupe ou que vous avez eu une crevaison.
  • Tweeter plus que quelques fois par jour; les gens arrêtent de suivre les tweeteurs trop prolixes (vos tweets accapareront leur page d’accueil).
  • Stresser parce que vous ne tweetez « pas assez »; il n’y a pas de minimum à respecter.

AUTRES AVANTAGES DE TWITTER…

  • Tweeter requiert moins de temps pour écrire et afficher un article dans un blogue ou produire une vidéo
  • Méthode idéale pour transmettre de l’information en temps réel, p.ex., en tweetant « en direct » à partir d’un événement; cela permet de disséminer des données en situation de crise.
  • On peut tweeter en envoyant un message texte à partir d’un téléphone cellulaire.
  • Avoir un profil TWITTER augmente les résultats des recherches effectuées à votre sujet, comme par exemple dans Google en cas de recherche à partir de votre nom.

« Bon Gazouillage »

Coach Sylvain

Source : Angus-Lee Inc.

Après avoir été conférencier-invité par une Chambre de commerce d’une gentille petite municipalité de région, afin de mousser leur campagne d’achat local, un propriétaire d’une boutique de vélos m’exposa une situation fort frustrante qu’il venait de vivre. Il disait passer pour un « voleur » par les consommateurs de sa ville ! Voici pourquoi : Un client bien en vue était venu voir les vélos dans sa boutique et était ressorti de la même manière, sans dire un mot. Une semaine plus tard, en faisant son gazon chez lui, notre commerçant remarqua que le même citoyen se promenait dans sa rue avec son tout nouveau vélo acheté dans la grande ville. Dans la semaine suivante, cette même personne est revenue à son commerce pour lui demander une commandite pour l’équipe locale de soccer. Devinez le type de réponse qu’il a pu recevoir ?

Faisant ma petite enquête, le client en question m’a affirmé avoir acheté le « même » vélo chez Wal-Mart pour 100 $ moins cher. Même couleur et tout ! Revenant à mon marchand, celui-ci m’indiqua que c’était impossible et commença à me démontrer les différences techniques qui justifiaient les 100 $ de plus : Fourche renforcée, alliage plus résistant et plus léger, dérailleur de meilleure qualité, etc… Je lui ai dit que ce n’était pas à moi qu’il fallait justifier le prix demandé, mais à ses clients !

Permettre aux clients de mieux comparer 

Ma suggestion fut premièrement de ne pas blâmer les clients pour leur ignorance. Pour faciliter la comparaison, d’entrer quelques vélos de la gamme « Wal-mart » sur le plancher (les offrir aux mêmes prix, quitte à les vendre au prix coutant) et d’en décortiquer un ; de prendre son autre vélo aux mêmes formes, mais de meilleures gammes et de faire la même chose.  À partir de là, d’accueillir obligatoirement tous les clients qui se présenteraient au commerce, de vérifier avec eux leurs besoins, de leur expliquer les modèles disponibles en faisant la démonstration des différences techniques comme il m’avait faite auparavant ; puis de les laisser choisir… En voyant les avantages, l’acheteur serait plus facilement disposé à payer la différence de prix, pour obtenir un vélo plus durable et plus performant. Au pire, le client irait ensuite chez Wal-Mart et constaterait la qualité des informations transmises par la boutique ; découvrant que la même gamme de produit est offerte à domicile, aux mêmes conditions ! La réputation du marchand en serait ainsi sauvée !

Nos études démontrent que les consommateurs veulent bien acheter « localement » en premier lieu, mais aux mêmes conditions (perçues).  Hors, ceux-ci comparent facilement le prix des pommes avec celui des oranges. À qui la faute ? Ici, l’expert c’est vous !  À vous de les rassurer, de les informer, de leur démonter que vos solutions sont les meilleures sur le marché et de proposer celle qui est la plus adaptée à leurs besoins !

Chez Déclic, nous pouvons vous aider à définir les besoins de vos clients et à vous ajuster aux perceptions de ceux-ci. Ensuite, à vous d’entreprendre les meilleures actions ! 

Sylvain Chassé

© 2014. Tous droits réservés. Déclic, Coaching en marketing et en gestion des ventes

La vente n’est pas vraiment une fonction compliquée. Une image que j’aime beaucoup utiliser pour définir cette tâche est de comparer la clientèle à une serrure. Dans votre trousseau, vous possédez un grand nombre de clés (vos produits), dont LA clé unique qui peut débarrer la porte ! Mais laquelle ?

Première approche : Essayer toutes les clés, une par une.

En vente, l’approche par produit consiste à présenter vos différentes solutions, une par une. Si vous êtes chanceux(se), vous pouvez tomber sur la bonne ! Cependant, prenez garde de pousser une mauvaise clé trop fort dans la serrure…vous risquez d’abord de briser la clé, puis la serrure. Dans cette approche, l’entrepreneur(e) développe des nouveaux produits et tente ensuite d’y trouver un marché.

Deuxième approche : Identifier la sorte de serrure et trouver la bonne clé du premier coup !

Quoi de plus facile lorsqu’on connait à quelle serrure nous avons affaire et que nous savons quelle clé peut débarrer la porte. En questionnant et en écoutant votre client parler de ses besoins, l’approche de vente par besoin vous permet de définir si vous possédez la bonne solution ou non. Dans l’affirmative, pas besoin de forcer la vente. Vous n’avez qu’à insérer la clé parfaite pour la serrure, la tourner et comme par magie, la porte s’ouvre toute seule sans effort !

Voilà ce qu’est la vente !!!

« Oui, mais si je ne possède pas la bonne clé, je fais quoi ? Je perds une vente ? »

Vaut mieux perdre la vente que de perdre votre réputation. Chaque contact client est un exercice d’apprentissage. Vous venez d’identifier un éventuel produit à développer pour votre entreprise. Inscrivez-le immédiatement dans votre Guide Marketing, en retenant aussi le nom du client. Vous pourrez valider plus tard le potentiel de ce genre de demande. « Si jamais nous avions la solution, est-ce que vous me permettriez de vous rappeler ? »  Devinez la réponse de ce client ? Entre temps, aidez-le à trouver une alternative. Avec votre expertise, vous pouvez le diriger honnêtement vers les meilleures solutions disponibles sur le marché, quitte à le référer à un concurrent. Nos enquêtes  démontrent que le client se souvient davantage de la personne qui l’a aidé, que de celle où il a acheté. Il vous en sera longuement reconnaissant !

Amusez vous à identifier les bonnes clés à utiliser et surtout, passez à l’action !

Bonne semaine,

Sylvain Chassé, expert/coach

© 2014 Déclic, Coaching en gestion des ventes et en marketing. Tous droits réservés.

Tout le monde sait que sa mission d’entreprise (ou organisme) , c’est sa raison d’être en affaires.

‎Voici un petit test facile pour vérifier rapidement si votre mission d’entreprise est clairement définie et toujours actuelle. Je vous invite à répondre honnêtement à ces questions :

  • Pouvez-vous décrire en quelques mots pourquoi vous êtes en affaire et le lien avec ce qui vous passionne ? Votre entreprise vous permet-elle de vous réaliser ?
  • Quand le client se présente chez vous, quelle aide souhaite-t-il obtenir de vous ? En termes clairs, c’est quoi son problème et pourquoi fait-il appel à vous spécifiquement ?
  • Quel talent particulier vous reconnait-il sur lequel il n’hésite pas à solliciter votre aide, à vous rechercher, pour lequel il est « fier » de vous payer, à vous remercier d’exister et d’en parler à ses amis ?
  • Combien de clients vivent cette situation particulière et à quelle fréquence se présente-t-elle ? Assez pour vous permettre de vivre de votre passion ?

Ces questions vous mènent directement au cœur d’une réflexion sur votre mission d’entreprise !

Voici 7 caractéristiques d’une mission d’entreprise efficace :

1. La mission est un texte qui ne fait guère plus d’un paragraphe et qui comporte généralement les éléments suivants :

– Le besoin du client : Elle définit le problème ou la situation vécue par le client pour lequel il viendra solliciter votre aide. C’est le cœur de votre mission, le #1 !

– Votre secteur d’activité.

– Vos solutions : d’une manière générale et non limitative, le genre de solutions que vous pouvez offrir et pour lesquelles le client est prêt à payer.

– Elle met en évidence un de vos talents ou une force reconnue par le client pour lequel il vient solliciter votre aide en particulier. Vous pouvez également y ajouter  des valeurs qui vous sont propres.

2. Elle est rédigée en termes simples (dans les mots qu’utiliseraient le client lui-même), clairs, faciles à communiquer.

3. La mission place d’abord le besoin de vos clients au centre de vos préoccupations et de vos actions. Il est plaisant de se le répéter : Encore et encore ! On ne perd jamais son temps à écouter ses clients !

4. Votre mission vous permet de répondre à un nombre suffisant de clients pour pouvoir prospérer et pouvoir vous réaliser, à travers votre passion.

5. Elle mobilise tous les gens de votre organisation, vos employés, vers le but commun : « Mieux répondre aux besoins des clients ».

6. Elle donne une ligne directrice à toutes les autres fonctions de l’entreprise et à ses stratégies ; à votre positionnement et vos communications entre autres choses. Par exemple : « Vivez-vous cette situation actuellement ? Nous sommes là pour vous !!! »

7. Elle stimule la création ou l’acquisition de nouvelles solutions pouvant être offertes aux clients dans le besoin.

Votre mission doit devenir votre seconde nature et vous propulser vers les sommets de votre art, comme on dit !

Avec la formule coaching, Déclic est là pour vous permettre de garder le focus sur votre raison d’être (on parle de servir des clients), vous le rappeler s’il le faut, s’appuyer sur votre passion, mettre en évidence vos forces…et surtout, vous permettre de mieux passer à l’action !

N’hésitez pas à nous partager ce qui vous passionne ! Bon succès à tous !

Sylvain Chassé

®2014 – Tous droits réservés. Déclic, Coaching en marketing, gestion des ventes & en développement des affaires.


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