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Un parcours riche
en acquisitions de compétences!

Mon histoire

Ma passion pour l’investissement

Mon intérêt pour les affaires remonte à 1976, l’année où le gouvernement péquiste prend le pouvoir. J’avais alors 16 ans. Je croyais que l’indépendance politique du Québec se ferait seulement si les Québécois étaient maîtres de leur économie. C’est l’époque de l’exode avec fracas des sièges sociaux et des anglo-saxons de Montréal vers Toronto! Je me posais la question : « Les entreprises québécoises elles, restent… Alors, comment devenir maître de notre économie ? ». « En devenant propriétaires de nos compagnies », me suis-je dit. « Mais comment en devenons-nous propriétaires ? – En investissant sur le marché boursier et en ayant notre mot à dire aux assemblées des actionnaires ». C’est alors que je m’intéresse intensivement à la finance. Disons que pour un jeune de 16 ans, j’étais plutôt sérieux!

Le jour de ma fête de 18 ans, contre la recommandation de mes parents, j’achète mes premières actions : 100 actions de Québécor. C’était le début d’une nouvelle passion!

Comme j’étais parmi les premiers Québécois francophones à s’intéresser aux mondes des affaires, un sujet alors entièrement dominé par les anglophones, peu de mes proches, mêmes les professeurs de mon Cégep à St-Hyacinthe (qui ne savaient même pas comment acheter des actions en bourse), n’ont pu m’aider dans l’acquisition de mes nouvelles connaissances financières. C’est alors que j’ai décidé de prendre les grands moyens et d’aller apprendre directement chez ceux qui maîtrisaient le sujet et qui savent de quoi ils parlent. Je me suis inscrit en économie à l’Université McGill, en 1979. J’ai toujours eu une certaine facilité à l’école, surtout pour les mathématiques, l’histoire, la géographie, l’informatique et le français. Mais la langue anglaise était sincèrement ma plus grosse bête noire. Voulant me diriger dans le domaine financier, je me devais obligatoirement d’apprendre la langue des affaires. Donc, aller dans une université anglophone fut un immense défi !

Les valeurs mobilières (la bourse)

Au cours de ma dernière année universitaire, j’ai complété, les soirs, le cours des valeurs mobilières, un prérequis pour obtenir une licence auprès d’une firme de courtages à la bourse et travailler dans le domaine de ma grande passion.

J’ai obtenu une mention d’honneur à la fin de mon cours de valeurs mobilières.

J’ai alors commencé ma recherche d’emploi auprès des grandes firmes de courtages boursiers. Je fus embauché par toutes les firmes où je me suis présenté. J’ai choisi de me joindre à la filiale de la Banque de Montréal, Nesbitt Burns, située sur la rue St-Jacques dans le Vieux-Montréal.

Nesbitt Burns

À 23 ans, j’ai reçu une formation complète de 5 semaines intensives sur la négociation et la vente de valeurs mobilières, au siège social de l’entreprise à Toronto, avec un traitement de star ! Je débute ma carrière dès l’obtention de ma licence. Je fais partie des fameux «Golden boys», ces jeunes ambitieux qui sortent de l’école en faisant des salaires faramineux dès leurs premières années !

Tassé & associés

À 25 ans, je suis recruté par la firme Tassé & associés (aujourd’hui Valeurs mobilières Banque Laurentienne) pour développer leur bureau de Saint-Hyacinthe. Comme mes commerces étaient dans cette ville, je quitte Montréal pour la «campagne». Avec de bonnes idées et une vision moderne des affaires, le bureau a connu une croissance fulgurante sous ma direction. Pendant cette période, je suis passé du 87e au 8e meilleur vendeur de la compagnie!

C’est à cette époque que je commence l’enseignement supérieur avec le cours «Marché boursier» au Cégep de Saint-Hyacinthe.

Les clubs vidéo

En 1989, avec plusieurs investisseurs, nous faisons l’acquisition de quatre autres commerces franchisés dans le domaine de la location vidéo. Début 90, des actionnaires ont pris peur et ont voulu débarquer, obligeant la vente des commerces, sous la supervision du franchiseur qui, avec son droit de véto, les récupéra.

Cette expérience m’insuffle une bonne dose d’humilité et de confiance envers l’avenir dans un élan de relance.

En 1990, je rencontre le président des Industries Lassonde qui soulève que la combinaison «analyste/vendeur» qui me définit est rare dans le marché et me conseille de me diriger en gestion de produits et en marketing.

Ma nouvelle passion pour le marketing

La passion pour le marketing nait en moi à la suite de la lecture d’un premier livre d’une longue série sur le sujet!

Mon côté analytique est comblé par cette discipline avant-gardiste pour l’époque. Je décide de retourner à l’Université McGill pour obtenir un deuxième diplôme en administration, concentration marketing. J’obtiens la mention d’honneur : «Academic Achievement Award».

Pendant mes nouvelles études universitaires, je fais des études de marché pour la Société de développement commercial du centre-ville de Saint-Hyacinthe et j’obtiens un contrat en relations publiques pour la Chambre de commerce de Saint-Hyacinthe.

Sondacom, sondages et recherches en marketing

En 1995, je lance une nouvelle entreprise. Ma vision était d’interpréter les différentes données disponibles, pour créer un «Big data» au profit de mes clients. Avec les toutes nouvelles technologies disponibles, j’offre des services en gestion des bases de données pour le marketing (Système d’information marketing). Ce développement me permet d’être proactif et avant-gardiste dans le domaine!

En 1995 apparait la nouvelle marque «Sondacom, sondages et recherches en marketing. Mon produit vedette était «Profil achat», une grande enquête sur les habitudes de consommation. J’ai fait le tour du Québec avec ce produit. Les bases de données que je créais étaient mon atout principal sur la concurrence. Je réalise plus de 300 enquêtes pour diverses entreprises et regroupements de marchands. Invariablement, tous cherchaient réponse à la question : «Pourquoi certains clients achètent chez nous, et pourquoi d’autres, pas?»

Un expert reconnu sur les habitudes d’achat

En 2000, je deviens l’expert reconnu sur les habitudes d’achat des consommateurs à travers la province. On m’invite comme conférencier pour parler des générations X, des tendances d’achat, etc. Mon entreprise pris de l’ampleur jusqu’à avoir 10 employés. Nous faisions alors toutes sortes de sondages; groupes de discussion, études de marché, etc. J’obtiens une grande visibilité dans les médias.

Achat de Mégatel

Lors de cette même année 2000, je fais l’acquisition de Mégatel, le centre d’appels qui faisait nos téléphones pour les sondages. Ce joint à nous une équipe formée, ainsi qu’une nouvelle clientèle. C’était d’ailleurs à cette époque que nous avons développé le service de suppléance d’écoles. Le chiffre d’affaires de Mégatel a triplé depuis son acquisition. En 2016, ce service fut délaissé au détriment des appels automatisés.

Fédération des Caisses Desjardins

Tout en conservant mon entreprise (Sondacom), un poste de conseiller en vente s’ouvre à la Fédération des Caisses Desjardins à Saint-Hyacinthe pour un remplacement d’un an. J’obtiens le poste. Mon rôle consiste à coacher les gestionnaires du réseau Desjardins dans la vente de nouveaux produits en valeurs mobilières, ce qui combinait pour la première fois mes anciennes compétences en finance et mes compétences actuelles en marketing.

Présidence de Centraide

En 2000, j’accepte la présidence de la campagne de Centraide, Richelieu-Yamaska. Je suis alors sensibilisé à toute la misère humaine qui peut m’entourer.

Directeur de campagne chez Centraide

Pressenti en 2004 pour devenir la relève à la direction de Centraide Richelieu-Yamaska, je voyais en ce poste une opportunité de mettre tout mon talent au service des démunis de notre société. Chez Centraide, nous avons connu une période faste avec des campagnes records et un taux de croissances qui ont fait l’envie des autres Centraide à travers la province. Le résultat de la campagne 2006 n’a jamais été égalé depuis mon engagement à cette campagne.

En parallèle, c’est à ce moment que je commence à faire des lectures de croissance personnelle.

Année sabbatique en 2007 – Le chemin de Compostelle

Compostelle me fascine. J’achète mon billet d’avion pour deux mois en Espagne et je réalise une marche de 800 km. Je me choisis.  je grandis et j’évolue. L’année 2007 fut définitivement ma meilleure année au niveau du développement personnel.

Tourné davantage vers l’humain, je retourne à ma passion pour le marketing.

Cégep de St-Hyacinthe

En 2008, je recontacte mes anciennes connaissances du cégep. J’ai le privilège d’enseigner aux jeunes entrepreneurs qui suivent le cours de démarrage d’entreprise. Cette expérience me permet de faire des suivis en coaching et du mentorat. Cette dimension rejoint parfaitement bien mon cheminement «au-devant» de l’humain. C’est alors que j’ai eu l’idée de mettre en pratique mes forces en coaching.

Mes cours :

  • Vendre bien, vendre mieux
  • Être vu et connu de sa clientèle cible
  • Étude de marché
  • Gérer efficacement mon entreprise
  • Comment survivre à la première année

Déclic Coaching en vente et marketing

En 2010, je développe à temps perdu un peu plus mes outils, dont mon blogue, pour m’aider dans mes coachings. Je décide de me rendre plus visible et d’offrir mes compétences au marché. Dès que mes efforts sont mis en branle, il se crée un «buzz» autour de mon nom et je perce déjà dans mon entourage.

Je constate que ma réputation est encore excellente et mes clients me le rendent bien par des témoignages concernant le succès à la suite de mes interventions. Ils précisent que j’ai apporté une «lumière nouvelle» sur leur entreprise. Mes clients sont des entrepreneurs qui ne sont pas des spécialistes en marketing. Ils ont besoin d’être appuyés par une expertise qui apporte une vision nouvelle.

Sylvainchassé.com

2015, année de renouveau et de spécialisation. Avec le lancement de SylvainChassé.com, je me positionne maintenant comme un leader en stratégies d’affaires et marketing. Mon nouveau site Web offre une vitrine professionnelle mettant en valeur mes blogues et toutes les informations requises sur mes services de conférenciers de de consultants.

«Maître dans l’art de faire croître les entreprises !»

J’ai cette capacité unique à me mettre dans la peau d’un entrepreneur. Comme si j’étais un investisseur (tel un dragon), j’évalue les enjeux financiers, je donne l’heure juste et je dirige mes clients vers les meilleures avenues pour développer leur entreprise.

Fort de plus de 400 mandats réalisés dans différents domaines, j’aide les dirigeants à prendre les meilleures décisions en allant droit au but, par «le chemin» le plus court. À partir des informations transmises, je dresse le portrait de la situation et je sais identifier clairement les problématiques et les priorités. Le client réalise alors qu’il n’est plus seul. Quelqu’un le comprend, lui donne le déclic et peut le guider sur le chemin des bonnes décisions à prendre!